Un paradis vert

Ce qui frappe le plus quand on est français c'est de voir combien les espaces verts et les arbres prennent de l'importance dans l'espace public. Ici pas de barrière ni de murs la fin des jardins est définie par le passage du gazon au béton des trottoirs.  Quand on s'élève au-dessus de la ville, comme par exemple sur le Mont -Royal, on reste étonné de voir finalement plus de verdure ressortir que de bâtiments en dehors du centre ville peuplé de gratte-ciels. Ceci est dû surtout au fait que la ville s'étalle beaucoup avec des immeubles d'à peine deux niveaux,  moins que la hauteur des arbres ! Des érables pour la plupart.

Voici la rue que j'emprunte pour me rendre à l'école, avec pour plafond la cîme des arbres !



Voici ce que l'on trouve en ce moment sur les trottoirs du campus. C'est bizarre mais cette feuille me rappelle quelquechose !


Qui dit verdure abondante dit aussi faune ! C'est pourquoi si vous vous promenez dans les rues de Montréal vous aurez plus de chance de rencontrer un écureuil qu'un chat. Depuis mon arrivée je n'ai croisé que deux chats contre une quinzaine d'écureuils !  Ils font partis du paysage et de la vie quotidienne, les Québécois n'y prêtent pas attention ! Savez-vous comment on reconnais un français ici ??........ C'est le seul qui prend en photo les écureuils !


Croisé en revenant de l'école.



Croisé au parc du Mont-Royal.